«Je passe l'aspirateur pour me détendre»

L'affaire du tweet dans lequel Valérie Trierweiler avait soutenu le rival de Ségolène Royal lors des élections législatives avait fait grand bruit en juin 2012. Jeudi soir, la compagne de François Hollande est revenue sur cette mésaventure dans «C à vous», sur France 5.

«Sur Facebook on a des amis, sur Twitter on a des ennemis, a-t-elle analysé. Il y a beaucoup de gens qui se déchaînent sur Twitter, donc il faut le savoir. Maintenant je relis, je vérifie qu'il n'y a pas de fautes d'orthographes. Comme je ne prends pas toujours mes lunettes, parfois je me trompe d'une lettre !» Trierweiler a précisé avoir «complètement raté la phase Facebook» en voulant rejoindre le réseau social pour contrôler les profils de ses enfants… qui ne l'ont évidemment pas acceptée comme amie.

Le Tweet n'a pas été la seule critique dont la journaliste a fait les frais. «Je continuais à porter des petites robes que j'achetais sur le marché, j'ai reçu beaucoup de critiques, a-t-elle regretté. Aujourd'hui, on me prête parfois des robes couture, qui ne coûtent rien à l'Elysée, et on me reproche de tomber dans le luxe.»

Même si elle est la compagne du président de la République française, Valérie Trierweiler assure être une femme «normale». Elle aime d'ailleurs vaquer aux tâches ménagères standard: «Je passe l'aspirateur pour me détendre. Vider ou remplir son lave-vaisselle, ça fait du bien.» Par contre elle aimerait bien que ses fils s'occupent tous seuls de leur linge sale!

Alessandra Sublet a demandé à la Française si elle envisageait d'épouser un jour François Hollande. «Connaissez vous les paroles de la Marseillaise?, a-t-elle répondu. «Egorger nos fils et nos compagnes.» On ne parle pas d'épouses, on parle de compagnes. Eh bien c'est un très joli mot. On accompagne. Je trouve qu'il n'y a pas de plus joli mot. On est ensemble parce qu'on s'aime, pas parce qu'on est obligés de rester ensemble parce qu'on serait mariés ou autre chose...»