Guerre en UkraineMinerais: Trump met en garde Zelensky contre un rejet de l’accord
Suivez l'actualité du conflit et les tensions entre Moscou et l'Occident depuis le début de la guerre en février 2022.

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Poutine «reste ouvert à tout contact» avec Trump, après ses critiques
Vladimir Poutine «reste ouvert à tout contact» avec son homologue américain Donald Trump, a affirmé lundi le Kremlin, après les critiques du locataire de la Maison Blanche à l’encontre du président russe, malgré leur rapprochement entamé depuis plusieurs semaines.
«Le président reste ouvert à tout contact avec le président Trump», a indiqué le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, lors de son briefing quotidien, précisant qu’«aucun» nouvel appel entre les deux dirigeants n’était «prévu pour l’instant». Donald Trump s’est dit «très énervé» envers son homologue russe, après que ce dernier eut évoqué l’idée d’une «administration transitoire» en Ukraine, sans son préside

Trump met en garde Zelensky contre un rejet de l’accord sur les minerais
Le président américain Donald Trump a averti dimanche son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky qu’en cas de rejet d’un accord en discussions sur les minerais, il aura de «gros problèmes».
«Je vois qu’il essaie de se retirer de l’accord sur les terres rares. Et s’il le fait, il aura des problèmes. De gros, gros problèmes», a déclaré à bord d'Air Force One Donald Trump, qui fait pression sur Volodymyr Zelensky pour qu’il signe un accord permettant aux groupes américains d’exploiter des minerais ukrainiens, tout en tentant de négocier un accord de cessez-le-feu entre l’Ukraine et la Russie.

Le président américain descend d'Air Force One à la base conjointe d'Andrews, dans le Maryland, le 30 mars 2025.
AFPLes Russes s'emparent de Zaporijia
La Russie a revendiqué dimanche la capture d’un village situé à 7 km de la frontière administrative de la région de Dnipropetrovsk, dans le centre de l’Ukraine, une région dans laquelle les forces de Moscou n’ont encore jamais pénétré. Des unités de l’armée russe «ont libéré le village de Zaporijjia», a indiqué le ministère russe de la Défense dans son rapport quotidien. Cette localité est située dans la région orientale de Donetsk.
La Russie a revendiqué en 2022 l’annexion de quatre régions de l’est et du sud de l’Ukraine: celles de Donestsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson, en plus de la Crimée annexée en 2014. Elle n’a pas formulé, à ce stade, de revendications territoriales concernant la région de Dnipropetrovsk.
Samedi, la Russie avait déjà revendiqué la capture de trois villages, dont un situé dans la région ukrainienne de Soumy (nord), qui fait face à celle, russe, de Koursk. Les forces russes ont presque totalement chassé ces dernières semaines l’armée ukrainienne de la région de Koursk et menacent désormais celle de Soumy, autre front pour Kiev.

Site d'un tir de missile à Zaporijia (image d'archives).
AFP«Un cessez-le-feu pourrait déjà être entré en vigueur», selon Zelensky
Kiev a accusé la Russie de «crime de guerre» après une série de frappes aux drones qui ont fait au moins deux morts et touché un hôpital militaire dans la nuit à samedi à dimanche à Kharkiv, au moment où les tentatives d’arriver à une trêve patinent.
«Depuis trop longtemps maintenant, la proposition américaine d’un cessez-le-feu inconditionnel est restée sur la table sans réponse adéquate de la Russie», a déclaré le président ukrainien Zelensky samedi soir. «Un cessez-le-feu pourrait déjà être entré en vigueur s’il y avait une véritable pression sur la Russie», a-t-il ajouté, remerciant les pays «qui comprennent cela» et ont renforcé la pression des sanctions sur le Kremlin.
Kiev avait accepté une cessation sans conditions des combats, pour 30 jours, rejetée depuis par Moscou. Mettant encore en doute le succès de toute négociation de paix, le président russe a évoqué jeudi l’idée d’une «administration transitoire» pour l’Ukraine, sous l’égide de l’ONU, ce qui implique le départ de Zelensky. Poutine s’est par ailleurs félicité que les forces russes aient «l’initiative stratégique» sur le front face aux Ukrainiens.

Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, à Kiev, le 28 mars 2025.
AFPLa Russie a frappé un hôpital militaire à Kharkiv
L’Ukraine a accusé samedi l’armée d’avoir frappé un hôpital militaire à Kharkiv (nord-est), endommageant le bâtiment et faisant des victimes.
«L’hôpital et des immeubles résidentiels voisins ont été endommagés par un drone Shahed», a déclaré l’armée ukrainienne, ajoutant que «selon les premiers rapports, des victimes sont à déplorer parmi les militaires qui étaient soignés».
Kiev ne révèle généralement pas de d’informations sur ses pertes militaires et n’a pas précisé le nombre de soldats blessés.
Moscou «se moque des efforts de maintien de la paix»
La Russie a revendiqué samedi la capture de deux villages dans l’est et le sud de l’Ukraine, poursuivant ses avancées sur le front alors que les efforts patinent en vue d’un cessez-le-feu global. Selon le ministère russe de la Défense, il s'agirait du village de Chtchebraki dans la région de Zaporijjia et de celui de Panteleïmonivka dans celle de Donetsk.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a lui rapporté que la Russie a lancé plus de 170 drones sur l’Ukraine au cours de la nuit, frappant des cibles dans les régions de Dnipropetrovsk, Kiev, Soumy, Kharkiv et Khmelnytsky. Selon lui, quatre personnes ont été tuées à Dnipro, où la frappe a touché un complexe hôtelier, et fait 21 blessés en tout, dont une femme enceinte.
«La Russie se moque des efforts de maintien de la paix déployés dans le monde. Elle fait traîner la guerre et sème la terreur parce qu’elle ne ressent toujours aucune pression réelle», a dénoncé Zelensky.

Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky.
AFPAu moins quatre morts dans une attaque de drones à Dnipro
Une attaque russe de drones a tué au moins quatre personnes et blessé 19 autres dans la ville ukrainienne de Dnipro (centre-est), dans des frappes qui ont endommagé des immeubles et provoqué un incendie, selon les autorités.
Dans la nuit de vendredi à samedi, la Russie a envoyé «plus de deux dizaines de drones sur la ville», a écrit Sergueï Lissak, gouverneur de la région de Dnipropetrovsk, sur la messagerie Telegram.
«Plusieurs immeubles de Dnipro ont été endommagés lors de l’attaque des drones dans la soirée. Des incendies ont éclaté dans près d’une douzaine de maisons», a-t-il indiqué. «Des garages et des stations-service ont pris feu», a-t-il ajouté, précisant que «les sauveteurs ont réussi à circonscrire l’incendie dans un complexe d’hôtels et de restaurants».
L’ONU appelle à mettre fin aux «horribles souffrances» en Ukraine
Le haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’Homme, Volker Türk, a appelé vendredi à mettre fin aux «horribles souffrances» causées par les attaques contre les civils en Ukraine, plus de trois ans après le début de l’invasion russe.
«Ces dernières semaines ont été marquées par une forte activité autour d’un éventuel cessez-le-feu en Ukraine, qui serait le bienvenu», a-t-il déclaré au Conseil des droits de l’Homme des Nations unies à Genève.
«Des cessez-le-feu limités qui protègent les voies de navigation et les infrastructures constituent une avancée bienvenue», a plaidé Volker Türk. «Ce dont nous avons le plus besoin aujourd’hui, c’est de mettre fin aux horribles souffrances infligées quotidiennement à l’Ukraine».

Volker Türk, haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’Homme.
AFPKiev a reçu une nouvelle version «inacceptable» de l'accord sur les minerais
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé vendredi avoir reçu de la part des Etats-Unis une nouvelle version de l’accord sur les minerais stratégiques d’Ukraine, auxquels Washington veut obtenir un accès.
«La partie ukrainienne (...) a officiellement reçu aujourd’hui, par une note, les propositions américaines», a déclaré Zelensky lors d’une conférence de presse, sans fournir de détails sur cette nouvelle version qui est, selon des médias, très défavorable pour l’Ukraine.

Volodymyr Zelensky.
AFPSi les détails de la nouvelle version de l’accord n’ont pas été rendus publics officiellement, des députés et médias ukrainiens l’ont vivement critiqué, qualifiant le document d'«inacceptable».
Pas d'impôts cachés pour financer l'Ukraine assure Macron
L’aide apportée par la France à l’Ukraine, qui a été accrue de deux milliards d’euros cette semaine, ne sera pas «financée par des impôts cachés ou supplémentaires», a assuré vendredi Emmanuel Macron dans une vidéo mise en ligne sur Instagram.
Cette aide «est dûment financée grâce à la loi de programmation militaire, aux efforts qu’on avait anticipés et grâce au financement européen et dans le cadre du G7 que nous avons décidé», a argué le chef de l’État. «Et donc non, cette aide, ce n’est pas une aide qui sera financée par des impôts cachés ou supplémentaires, c’est totalement faux», a-t-il insisté.

Le président français Emmanuel Macron.
AFPL’Ukraine dit avoir récupéré les corps de 909 de ses soldats
L’Ukraine a dit vendredi avoir récupéré les corps de 909 soldats ukrainiens tués au combat, le plus gros échange de ce type depuis le début de l’invasion russe en février 2022.
«À la suite des activités de rapatriement, les corps de 909 défenseurs tombés au combat ont été rendus à l’Ukraine», a indiqué sur Telegram le Quartier général de coordination pour le traitement des prisonniers. L’échange de dépouilles de militaires et de prisonniers de guerre est l’un des rares domaines de coopération entre Moscou et Kiev.

Moscou accuse (encore): «Les Européens ne veulent pas la paix»
Le refus des pays européens de lever les sanctions imposées à la Russie en raison de son assaut contre l'Ukraine montre «qu'ils ne veulent pas suivre la voie de la paix», a accusé vendredi le Kremlin.
«Si les pays européens ne veulent pas suivre cette voie, cela signifie qu'ils ne veulent pas suivre la voie de la paix», a dit à des journalistes le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, interrogé sur la déclaration des pays alliés de l'Ukraine qui ont exclu toute levée de ces sanctions la veille lors d'une réunion à Paris

Poutine affirme que la Russie a «l’initiative stratégique» sur le front
Le président russe Vladimir Poutine a évoqué vendredi l’idée d’une «administration transitoire» pour l’Ukraine, sous l’égide de l’ONU, afin d’organiser une élection présidentielle «démocratique» dans ce pays, puis négocier un accord de paix avec les nouvelles autorités.
«On pourrait bien sûr discuter avec les Etats-Unis, même avec les pays européens, et bien évidemment avec nos partenaires et amis, sous l’égide de l’ONU, une possibilité de mettre en place en Ukraine une administration transitoire», a déclaré Vladimir Poutine lors d’un déplacement à Mourmansk (nord-ouest).
Le président russe a par ailleurs affirmé que les forces russes ont «l’initiative stratégique» sur toute la ligne de front en Ukraine. «Sur toute la ligne de front, nos forces ont l’initiative stratégique (...). Il y a des raisons qui portent à croire que nous allons les achever», a déclaré Vladimir Poutine, en estimant que «le peuple ukrainien lui-même devrait comprendre ce qui passe».

Rubio juge prématuré d’envisager des pourparlers à haut niveau avec Moscou
Le secrétaire d’Etat américain Marco Rubio a jugé prématuré jeudi d’envisager des pourparlers à haut niveau avec la Russie au sujet de la guerre en Ukraine, après des semaines de discussions préliminaires.
«Je pense que davantage de progrès doivent être effectués au niveau technique» avant de pouvoir passer à l’étape suivante, a-t-il déclaré en réponse à une question lors d’un point presse.
«Il y a beaucoup de travail qui doit être fait avec les deux parties, en particulier avec la partie russe», a-t-il souligné à bord de l’avion le ramenant du Suriname aux Etats-Unis.
Marco Rubio a refusé d’avancer un calendrier, soulignant que «cela ne dépend pas de nous».

Le secrétaire d’Etat américain Marco Rubio.
AFPZelensky appelle les Etats-Unis à «réagir» après de nouvelles frappes russes
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé jeudi les États-Unis à «réagir» après de nouvelles frappes russes qui, selon lui, constituent une «violation» d’un moratoire flou annoncé sur les attaques contre les cibles énergétiques.
«Je pense que les États-Unis devraient réagir (...) On ne sait pas très bien qui surveille tout cela et comment», a souligné Zelensky lors d’une conférence de presse à Paris, soulignant que «les Américains disent croire au silence (des armes) en mer (Noire) et dans le secteur de l’énergie».

Volodymyr Zelensky.
AFPMeloni espère la présence d’une délégation américaine à la prochaine réunion
La cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni, qui a participé jeudi au sommet des alliés européens de l’Ukraine à Paris, a déclaré qu’elle espérait voir une délégation américaine au cours de la prochaine réunion de ce groupe d’une trentaine de pays.
Giorgia Meloni «a souligné l’importance de continuer à travailler avec les États-Unis pour arrêter le conflit (...) et a souhaité la participation d’une délégation américaine à la prochaine réunion de coordination», ont souligné dans un communiqué ses services.

Giorgia Meloni.
AFPPoutine veut «diviser» l’Europe et les États-Unis, dit Zelensky
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé jeudi son homologue russe Vladimir Poutine de chercher à «diviser» l’Europe et les Etats-Unis, en se rapprochant ces dernières semaines de Donald Trump, après plus de trois ans d’invasion russe de l’Ukraine.
Vladimir Poutine «veut diviser l’Europe et les Etats-Unis», a déclaré le président ukrainien lors d’une conférence de presse à Paris, à l’issue d’un sommet des pays alliés de Kiev.

Volodymyr Zelensky.
AFPL’Ukraine accuse Moscou de «violation» de son moratoire
L’artillerie russe a frappé jeudi la ville de Kherson, dans le sud de l’Ukraine, privant d’électricité la plupart de ses habitants, a accusé un haut responsable ukrainien, y voyant une «violation» du moratoire promis par Moscou sur les frappes contre les installations énergétiques.
«Il y a eu un bombardement qui ne semblait pas viser le secteur de l’énergie, mais le secteur de l’énergie a été touché», a indiqué ce responsable, s’exprimant sous couverte d’anonymat. «Cela soulève une vraie question sur les limites du cessez-le-feu, sur son contrôle», a-t-il ajouté, relevant que l’Ukraine considérait ces frappes d’artillerie contre Kherson, qui ont fait deux morts, comme une «violation évidente» du moratoire.

Kherson, sur les bords du Dniepr.
AFPStarmer salue une «mobilisation» de l’Europe «à une échelle inédite»
Le Premier ministre britannique Keir Starmer s’est réjoui jeudi de voir l’Europe «se mobiliser» pour la paix en Ukraine «à une échelle inédite depuis des décennies», à l’issue d’une réunion à Paris d’une coalition des États soutenant Kiev.
«Nous avons réuni 30 pays qui ont dit ouvertement ce matin qu’ils n’ont jamais vu l’Europe aussi forte depuis très longtemps, et j’entends par là l’Europe et non pas les institutions au sein de l’Europe», a aussi déclaré le dirigeant britannique lors d’une conférence de presse.

«Il y aura une force européenne de sécurité en cas de paix»
Emmanuel Macron a évoqué jeudi «les forces de réassurance» de «plusieurs pays» qui pourront se déployer «le jour d’après en Ukraine», lors d’une conférence de presse à l’issue d’une réunion à Paris d’une coalition des Etats soutenant Kiev.
«Ces forces de réassurance n’ont pas vocation à être des forces de maintien de la paix», ni «des forces présentes sur la ligne de contact», ni «des forces qui se substituent aux armées ukrainiennes», mais des forces «qui signeraient un soutien dans la durée et auraient un caractère de dissuasion à l’égard d’une potentielle agression russe», a poursuivi le président français, en relevant que, faute d’»unanimité» entre les pays sur la question, il s’agirait de forces de seulement «quelques Etats membres» de la coalition.

Macron souhaite que la Chine joue un rôle en faveur de la paix
Emmanuel Macron a dit jeudi souhaiter que le président chinois Xi Jinping «puisse avoir un rôle tout à fait actif» en faveur de la paix en Ukraine.
«Compte tenu de la qualité du dialogue qui est le sien avec la Russie, compte tenu de l’initiative de paix qu’il avait prise en lien avec le Brésil il y a quelques mois, je souhaite que le président Xi puisse avoir un rôle tout à fait actif pour nous aider à bâtir cette paix solide et durable», a affirmé le président français à l’issue d’un sommet de la «coalition des volontaires» en présence du président ukrainien Volodymyr Zelensky. «Et je pense que la Chine est plus que légitime pour le faire en tant que membre permanent du Conseil de sécurité et compte tenu des initiatives précédemment prises», a-t-il ajouté.

Le président chinois Xi Jinping.
AFPUne mission franco-britannique pour renforcer l’armée ukrainienne
Une mission franco-britannique se rendra «dans les prochains jours en Ukraine» pour préparer «ce que sera le format de l’armée ukrainienne» ainsi qu’un éventuel déploiement de forces de pays alliés après un éventuel accord de paix, a annoncé jeudi Emmanuel Macron.
S’exprimant à l’issue d’une réunion à Paris d’une coalition des États soutenant l’Ukraine, le président français a en outre fait part d’une décision d’accélérer le versement des «prêts décidés en G7» par l’UE et assuré que les alliés de l’Ukraine avaient «acté de manière unanime qu’il ne fallait pas lever les sanctions contre Moscou». Il a ajouté qu’avec le Premier ministre britannique Keir Starmer, il allait «piloter» les efforts de cette coalition de pays.

Keir Starmer et Emmanuel Macron.
AFPMacron a parlé avec Trump avant le sommet des pays alliés de l’Ukraine
Le président français Emmanuel Macron a parlé avec son homologue américain Donald Trump «en amont» du sommet qui s’est ouvert jeudi matin à Paris des pays alliés de l’Ukraine, a annoncé l’Elysée.
Cet échange s’est tenu après la réunion de mercredi soir entre le président français et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, a-t-on précisé de même source. Le sommet de Paris réunit une trentaine de pays de l’Union européenne et/ou de l’Otan prêts à apporter des garanties de sécurité à Kiev en cas d’accord de paix avec la Russie, mais les Etats-Unis n’y participent pas.

Le président français Emmanuel Macron s'était rendu à la fin de février 2025 à la Maison-Blanche.
Getty Images via AFPL’Europe doit «prouver» qu’elle «peut se défendre», dit Zelensky
L'Europe doit «prouver» qu'elle «peut se défendre», a déclaré le président ukrainien Volodymyr Zelensky jeudi, le jour du sommet des pays alliés de Kiev réunis à Paris, en l'absence des États-Unis.
«L'Europe peut se défendre. Nous devons le prouver», a écrit Zelensky sur les réseaux sociaux, accompagnant son message de la photo de famille des dirigeants présents à Paris.
